Oublier, m'oublier, tu n'as rien de mieu à faire (libre)

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Ma première visite d'Horse-Wild était son cimetière. Beaucoup de chevaux était, mais auqu'un à cause de moi... Je respira à plein poumon l'odeur de la mort. Je ne sais aps, mais ce lie, si désert soit-t-il, avais quelque chose de chaleureux et acceuillant. De toute façon, je doit bien être la seule à pensais une chose pareille. Je regadais chaque tombe, chaque nom et honorais à ma magnière leurs souvenir. Quand même, si je voulais rencontrais quelqu'un, j'ai sens doute choisi le mauvais endroit. Je continua ma marche dans ce lieu de silence éternel Une petite brume percistente me coulais à la peau et mouillais ma robe lustrais avec soins Soudain, je trébucha sur une tombe Heureusement que cet endroit étais désert et inhospitaliais, sinon, je serais morte de honte ! Je regardais si je n'avais pas trop abimais le lieu de repos que je venais de souillais Non, c'est bon. Je redressa les oreilles. Il me semble avoir entendut une moquerie. Je coucha les oreilles, le rôle de petite fille ne me va pas du tout ! Je ronfla des naseaux.

- Il y a quelqu'un ?

Comme si un spectre allais me repondre. Mais bon, qui ne tente rien, n'a rien !

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(je pEut?)

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(Bien sur !)

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Je sourirai devant la tombe de ce Quiero il me tardais de le rencontrai, même si cela ne m'arriverais jamais, je sourit, lui qui a sa mort torturai bien plus de monde que moi au cours de ma vie,il les fais souffrir bien plus de monde que moi... En les quittant, en les abandonnât alors que moi je ne fais que taquiner ces pauvre gens... Je m'étirai doucement et envoilla valser quelques grains de poussières sur la tombe du traitre e et sèchement lui hennit:

Comment as tu put imbécile!

Je ne savais point pourquoi je m'énerver sans doute parce que je venais de trouver la trace d'une personne décédés qui s'attachait a mon passé : GUAO ! Ma confidente avais atterrit ici, m'avais cherché étais morte... Ma soeur, ma moitié, celle qui m'avais façonné ce caractére tordu, je n'en voulais pas a quiero mais a elles, mais a lui, j'allai chercher la plus rouge, la plus belle des rose rouges, et la lui déposa sur sa tombe, et posa doucement mon chanfrein sur sa tombe ou aucune rose n'étais déposé...

[center]Désolée de vous interrompre, ne faitent pas attention à mon message, mais Soran à déposer 5 fleurs XD][/center

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J'entendit une voix au loin. Je serpenta autour des tombes, n'ayant pas de pensais ce qui nous ont quittais. Je marchais tranquillement, mon toupet en frage tombant sur mes yeux, me donnant un air mystérieux. Je m'arrêta en distinguant un étalon ibérique près de moi. Je m'approcha discrètement. Je sabot foulant à peine le sol je me dirigea vers lui, doucement, mais surement. Une fois près de lui, je collais ma croupe contre la sienne et regardais la tombe qui observais. Te Quiero ? Je ne l'ai pas connus. Je me tourna vers l'étalon gris.

- Bonjour.

Je ne sais pas pourquoi, mais ma vois n'était pas pareil. D'habitude, elle est chaleureuse et douce. Mais là, elle était froide et dur. Je regardais le ciel. Il fesais nuit noire, il n'y avais que quelque étoiles et la lune pour ne éclairais. Je fouétais l'air de ma queue, couchais les oreilles en arrière. Je ne sais pas pourquoi, mais depuis toujours, la lune me rendais nerveuse...

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Les tombes s'entremêlés mais ma tête doucement posé sur la
pierre froide, dur, et solide de Guao, me transperçait fragilement et agilement
le cœur, je me persuader qu'elle s'amusai a me faire souffrir de la ou elle
fut, son esprit tordu qui me plaisait beaucoup, sans doute trop, elle ne
m'avais jamais dit adieu, ni au revoir, juste un a demain, mais ce lendemain
nous avions tout deux disparu, elle personne ne savais ou elle avais disparu,
et jamais elle ne Pourrat me le dire, moi? Moi je m'étais enfuis... et
doucement je récitai une prière en langage perdu :

Lé randro, De la sitita.
Atra gülai un ilian tauthr ono un atra ono waìse skölir
frà rauthr brisingr.
Du Sùndavar Freohr.
Edoc'sil, Eitha ! EEthgrì
Fethrblaka, eka weohnata néiat haina ono. Blaka eom iet
lam !
Garjzla. Helgrind.Wiol pömnuria ilian Wyrd
Yawë

Soudain il réalisa la pression, sur sa croupe et eu envie
de lui envoyer un coup de pied en guise de bonjour, usais le corbeau, sont
corbeau qui gargouillait étrangement me fit détourner mon intention, lui avais
une sublime rose noir teintée d'un bleu ardent et la déposa en croix avec la
mienne sur sa tombe et tout bas je réalisai elle et moi... Il comprenait mon désarroi
et dit au volatile:

Aria.

» pour oublier.
» Oublier le temps 1 km à la fois
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