Virus

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VIRUS
La jeune arabe baie est morte en empéchant son propre fils de naître.
Lien de sa mort
Elle n'a pas laissé de mot, ne voulait même pas finir enfouie sous la terre. Mais elle ne peut plus rien decider, desormais...
Seulement, elle libère ses pensées aux trois deux êtres qu'elle aime, et un qu'elle aurait pu porter dans son coeur mais qui n'a fait que la tuer.

A RODEUR
Bon sang que je t'aime... Moi qui ai cru que tu m'avais menti.
Je suis desolée, tu ne me pardonneras pas. Mais de toute façon, quelle importance ? Tu ne serais pas revenu, n'est-ce pas ? Desormais, on aura une chance de se revoir. Je t'aime et t'aimerai toujours. Excuse moi pour mon état et ce que j'ai fait de ton fils. Je veillerai à ce que le Soleil t'eclaire toujours, que tu n'oublies pas mon amour pour toi jusqu'à la fin des jours.

A SOPRANO
Mon meilleur ami... Les mots seraient-ils assez juste pour te prouver à quel point je suis desolée ? Desolée de mon comportement, de ne pas t'avoir prouvé à quel point je tenais à toi. Tu es encore là, considère Sacha comme ton fils. Car si je n'avais pas été foudroyée par l'amour, il aurait été tien. Tu me manqueras. Tu le sais.

A SACHA
Mon fiston. Je suis fière de toi. Tu seras un fier et fort étalon.
C'est vrai, c'est toi mon assassin. Maintenant que tu le sais, je suis sûre que tu ne pleureras pas comme ses êtres faibles. C'est pas plus mal comme ça. Ne te laisse jamais marcher dessus. Celui qui te dicte sa loi, bousille-le. Sauf evidemment Soprano. J'aimerais que tu lui fasses confiance. Tu seras un chouette étalon.

Virus 07111111

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[ rahh sayez elle est morte ]

La Pouliche s'approcha de la tombe, elle se rappella de la scene, car elle y avait assister. Elle murmura :

- Bonne chance a ton fils, maintenant, je sais que tu t'appelle, enfin appellais, virus .... Au revoir .

Elle s'éloigna son dire un autre mot .

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[Meurphi

Eyh ouais

]

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[ huuuhu un poulaiiin =)]

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Last arriva d'eriere championne il baissa la t^te sur la tombe et deposa un bouquet de fleur
"Adieu jument!"
Il avait lui aussi asiter a la scene
"Si ton fils est abandonne je veillerai sur lui enfin j'esaillerai"

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L’étalon noir marchait sur les terres qui semblaient encore une fois honorer une âme morte. Comme si il avait toujours fait partit de ses terres, lui qui sait tout les noms des chevaux qui ornait les tombes aligné sur plusieurs rangés. Se n’étais pas la première fois qu’il venait ici. Du moins était t’il venu ici. En marchant proche des tombes, il aperçut non loin un étalon. Puis son sombre regard suivit une autre silhouette, une pouliche cette fois. Suspence soupira. Relevant sa tête. Une rose entre ses douces lèvres. L’étalon noir s’avança vers la tombe ou l’étalon regardait. Arrivé à quelques pas de la tombe, il déposa la rose a côté du bouquet que l’étalon venait de déposer. L’étalon noir fit comme à chaque fois il murmura quelques mots avant de faire une révérence.

>> Ton nom mais inconnue… Virus… Mais soi sur que tu sera heureuse là où tu est…

Il se releva après quelques minutes de silence. Puis il pivota sur lui-même et partit vers d’autre tombe, le même rituelle a chaque fois…

La deuxième fois.
Voilà la deuxième fois.
La deuxième fois que l'étalon noir posait ses sabots sur cette terre.
La première pour sa mère, et qu'elle plaisir de les poser !
La seconde pour son amie.
Ce virus qui vous pénettre, qui vous chatouille et qui vous sort par la où ça fait mal.
Cette jolie baie lui était sortie du coeur.
En faisant une trace, si noire mais si présente,
Que la cicatrisation n'était même pas commencée.
Alors le voilà,
Tête basse et visage fermé.
Il n'allait pas pleurer, il n'allait pas parler, il n'allait rien faire.
Après tout, il n'avait jamais pleuré, et n'avait jamais fait quelquechose.
Alors maintenant qu'il devait crier 'Non ne part pas, je ne peut vivre sans toi !',
Il était là, reniflant cette tombe ...
Mais pourquoi cette tombe ?
N'avait jamais -t- elle été si jolie, si douce, si vivante ?
Alors l'enfermée était l'incompréhension des choses ...!!!
Il souffla son odeur, il s'en apprégna et disparut bientôt a l'horizon.
Le coeur gros, le coeur vide mais le sourire aux lèvres,
Elle avait fait ce qu'elle avait voulue,
Elle n'avait pas changée d'avis, et c'était pour ça qu'il l'aimait, elle ne ressemblait à personne ...

*A toi Virus, la vie était un long fleuve tranquil,
Son carma t'as envôutée,
Tu seras forte et sans scrupules,
Tu seras toi ... *

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[ ::ticoeur:: ]

[snifouille D'amuuuur <3 XD ]

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[xD BizÛ d'amourette heart

]

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[ ahh troop chou ton poulain <3]

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[

Par contre je le fais grandir jeudi ;)]

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[youpiii]

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Non elle n’avait pas été n’importe qui, il fut simplement un jour ou un poulain et une pouliche se rencontrèrent, une réunion dés plus banal qu’on peut voir dans tout les jolies tableau, mais voilà qu’elle donna sa vie pour celle de son fils, Pryam ne chercha pas à comprendre plus loin, il déposa simplement une rose blanche sur ses quelques mots qu’elle avait laisse, une visage placide de sentiment, mais juste le souvenir de deux boule de poil galopant dans les prés. Pourquoi pleurer ce genre d’adieu faisait simplement partie de la vie, nous nous envolerons tous un jour ou l’autre, il ne suffit qu’à lui souhaiter bonne chance dans un autre monde que celui des vivants …
Une rose blanche, un cadeau qui d’ici quelques jours deviendra aussi poussière pour aller caresser les ailes d’anges de la petite virus qu’il connu un jour …
Une ombre, une ombre grise, rapidement comme la lumière passa, mais laissa sa marque, il suffit d’un souvenir pour voir l’insensible s’envoler à nouveau …

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[PRYOUUUU

]

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[ rahhh j'adoore ton texte <3 ]

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[ Ma niwie xD Merci beaucoup Championne ^^]

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[ dirrien =) ]

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(on est dans hommage je vous rappelle !=))
Cookie voyait plein de gens s'approcher d'une tombe.
Elle alla voir. C'était la tombe de "Virus". Il avait l'air gentil.
Elle aurait bien voulut le connaitre.

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[ c'tait une jument xP ]

Sujet: Re: Virus Lun 27 Oct 2008 - 15:10

Butterfly s'approcha de la tombe.
"Virus. Je t'ai connu si peu et pourtant tu restes dans ma mémoire. Tu es l'une des rares choses qui y sont restées d'ailleurs."
Il posa une rose et se planta une épine. Il n'y préta guère attention et repartit en boitillant, en saignant et sanglotant.