Quel désastre

La dernière fois, que j'étais venu ici, c'était avant le volcan qui avait rentré en éruption, quand j'ai su que le volcan s'était réveillé, j'étais parti avec mon fils en un rien de temps, mais pour ma belle, je ne savais rien. J'espérais qu'elle était encore vivante et qu'elle s'était enfuie. J'étais inquiet, mais j'avais confiance en elle. Elle était débrouillarde. Alors, cela faisait quelques temps, que j'étais de retour, avec mon fils . Il n'était jamais bien loin de moi. Je soupirais, j'étais arrivé à l'archipel des boucaniers et quand j'étais arrivé, j'avais été surpris par ce que je voyais. Il y avait des débris partout. J'en ai eu, les yeux plein d'eau.

"Oh non, quel désastre. "

Avais-je dit à haute voix. L'endroit était méconnaissable. Il va falloir tout nettoyer et après qui c'est, comment le paysage va s'être transformé. Je soupirais et je regardais de nouveau, il allait avoir du travail. Par la suite, je décidais de commencer quelques débris.

- A - A la recherche d’un abri pour la nuit. Le mâle pangaré s’était quelque peu égaré. De plus, il ne connaissait pas les terres par cœur. Mais tant pis, ce serait un bon moyen de mettre à l’épreuve son sens de l’orientation. De toute façon, tout était à faire ou à refaire sur ces terres. Alors était-ce vraiment se perdre quand on n’avait pas de but ? Non, surement pas.

Il avait passé la journée à errer dans l’archipel, curieux de voir les dégâts causés par le volcan ou les singes. Il déambulait trottinant entre les débris, se disant qu’il faudrait trouver quelqu’un pour nettoyer tout ça. Faire le sale travail ? Jamais de la vie. Aodhagan n’est pas de ceux qui se salissent les mains.
Finalement, comme un cadeau tombé sur ciel, un équidé à la robe noire et aux crins blancs se tenait devant lui, commençant à dégager les débris.

« Vous faites bien ! Vous n’êtes pas bien rapide, mais peut-être que les terres seraient rapidement habitables si quelqu’un d’autre se joint à vous. » dit-il calmement
.
Oh, bien sûr, cette personne se serait pas lui. Hors de question. Mais, oh dear, il devait bien y avoir d’autre chevaux pour faire tout ça non ?

J'étais toujours en train de ramasser les débris quand l'odeur d'un autre cheval, un mâle en l'occurrence s'était fait sentir et c'est en tournant la tête, que je le vis. Un étalon noir pangaré de type ibérique venait de m'adresser la parole et il se plaçait non loin de moi. Il disait que je faisais bien, mais que je n'étais pas rapide, mais il disait que peut être que les terres seraient de nouveau habitable, si quelqu'un venait m'aider.

"Bien sûr, C'est gentil et oui je prendrai bien de l'aide. "

Dis-je au cheval.

» Quel endroit délicieux ! - Pv Final Act